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La réparation de pare-brise pour réussi le contrôle technique

Très souvent, les propriétaires de voitures investissent dans la réparation des pièces importantes de la voiture telles que le moteur. Par contre, ils considèrent comme mineures certaines anomalies telles que les éclats et les fissures qui s’affichent sur un pare-brise. Pourtant, ces réparations à faire pourraient entraîner une contre –visite lors du contrôle technique. De ce fait, réparer ou changer un pare-brise est aussi important que changer un filtre ou remplacer une jauge.

Cette négligence pourrait être expliquée par le coût très élevé de ces réparations, la non disponibilité de prestataires professionnels et qualifiés ou par une législation très rigoureuse. Découvrez comment la réparation de pare-brise peut avoir un impact sur les résultats du contrôle technique.

Pourquoi procéder à une réparation du pare-brise ?

Il convient d’abord de savoir que changer le pare brise est une tâche tout à fait différente de la réparation. En effet, réparer cette partie vitrée revient à faire disparaitre une fissure, un éclat ou un impact. Pour ce faire, il serait judicieux de recourir à un professionnel dans le traitement des vitres automobiles.

Si votre pare-brise est atteint d’un impact, il convient de le réparer le plutôt possible car il peut se propager très rapidement et se transformer en fissure. Dans ce cas,  changer le pare brise serait un impératif. La fissure pourrait être localisée dans le champ de vision du conducteur. De plus, elle fragilise le pare-brise. A l’issu d’un contrôle technique, la fissure sur votre pare-brise pourrait entrainer l’immobilisation du véhicule.

La réparation du pare-brise et le contrôle technique

Le contrôle technique a subi de nouvelles dispositions à partir du 20 Mai 2018. En effet, des nouveautés ont été introduites. Des anomalies qui ont été auparavant considérées comme mineures sont désormais prises en compte et peuvent entrainer une contre-visite et voire même une immobilisation du véhicule.  Avant le 20 Mai, si votre pare-brise comporte une fissure ou une altération de verre située dans le champ de vision du conducteur,  votre véhicule fait l’objet d’une contre-visite. Après le 20 Mai, les choses changent. On parle plutôt d’une immobilisation immédiate de la voiture.

Suite à ces nouvelles réformes, la constatation de certains autres défauts vaut également l’immobilisation. On parle ici des bulles de verre, de fissure de plus de 30 cm, des impacts de plus de  3 cm. Ainsi, il convient de procéder aux réparations ou aux remplacements nécessaires de pare-brises dès que la fissure ou l’impact soient remarqués.

Comment trouver un bon prestataire de réparation de pare-brise ?

Vous souhaitez changer le pare brise de votre véhicule et vous êtes à la recherche d’un professionnel ? Renseignez-vous auprès de votre assureur. Il saura certainement vous recommander un bon professionnel. Demandez aussi l’avis de vos proches et de votre entourage.  Consulter les forums et les avis des internautes. Ces derniers sauront, sans doute, vous éclairer.

Un bon réparateur de pare-brise effectue un diagnostic dans un premier temps. En effet, il doit déterminer avec précision les spécificités de votre pare-brise ainsi que son état. Il doit procéder à la réparation ou au remplacement conformément aux règles de qualité et de sécurité. De plus, il doit réparer votre pare-brise à l’identique. Ainsi, vous pouvez jouir d’une bonne durabilité de l’ouvrage.

Récapitulons…

Selon les nouvelles normes du contrôle techniques entrées en vigueur depuis le 20 Mai 2018, une fissure ou un impact sur le pare-brise de votre voiture perturbant le champ de vision du conducteur entraine une immobilisation immédiate du véhicule. De ce fait, dès que vous remarquez un éclat ou un impact, il convient de le réparer pour passer avec succès le contrôle technique.

L'importance du casque de moto

Comment choisir son casque de moto ?

Ce n’est pas un simple acte de sagesse et de prévoyance, c’est aussi un acte citoyen qui suit les règlements de conduite, le casque de moto est un accessoire obligatoirement rattaché à ce véhicule. En faisant l’acquisition d’un « deux-roues », vous devez toujours inclure dans les impératifs cet instrument qui garantit votre sécurité. Mais comment le choisir ?

Le casque de moto, les meilleures dispositions

Sites et magasins spécialisés abondent en modèles, quand on parle de cet accessoire qui protégera votre tête. On en rencontre des designs qui frôlent les hautes coutures, on en voit des prototypes très futuristes, on essaye les plus extravagants et on achète les plus simples.

Le premier conseil est de ne pas trop se fier au look, l’essentiel est de vérifier ses caractères techniques.

Il faut également prendre en compte les gammes, puisqu’il y en a en entrée de gamme et ceux en haut de gamme, soyez conscient de la différence de prix, car c’est toujours liée à la qualité.

Avant d’être sûr d’un modèle, faites des essais. Portez-le pendant 5 minutes au moins pour que vous vous sentiez à l’aise dedans.

Les principaux modèles sont façonnés dans de la fibre de verre et dans du polycarbonate. Si la première apporte de la légèreté, le second garantit plus le label « norme ».

Dans tous les cas, parmi les modèles qui attestent une bonne protection, vous pourrez choisir un casque Shark Evoline. Un modèle qui est approprié à une conduite dans les milieux citadins et périurbains. Toutes les techniques dans lesquelles évolue cette gamme sont axées sur la protection optimale.

Pensez à choisir casque de moto homologué

Comme en France, le port de cet accessoire est obligatoire, il est alors plus judicieux de le choisir « homologué ».

En effet, l’homologation des casques de moto est nécessaire pour savoir si l’accessoire suit les normes requises. Plusieurs types d’homologation couvrent cet accessoire et, pour les obtenir, il doit passer par divers tests qui vérifient plusieurs pièces, entre autres la visière, la mousse de protection, l’impact sur le menton et autres.

Sachez que l’homologation est une attestation de la qualité et de la solidité de l’article, censé vous protéger la tête et les organes s’y trouvant.

Vous devez savoir « décrypter » cette homologation au moment de l’achat. Deux étiquettes doivent garantir cette certification : une étiquette verte avec la mention NF (NF S 72.305) et une étiquette portant la conformité européenne E + numéro indiquant le pays de fabrication.

En addition à cette homologation, il est stipulé dans les textes régissant cet accessoire qu’il doit se doter d’éléments rétro réfléchissants sur tous les côtés. Si certains présentent déjà ces éléments dès leur achat, d’autres laissent aux motards le soin de coller les leurs aux bons endroits en les incluant dans l’emballage.

Un accessoire…impératif !

Certains inconscients ne veulent pas connaître l’utilité d’un casque de moto pendant leur virée, et omettent d’en mettre. Seulement, il faut savoir que ce n’est pas pour le « fun » qu’on le met, c’est surtout pour des raisons de sécurité.

L’importance du casque se repose sur plusieurs fondements. Sachez que c’est l’accessoire qui protègerait la tête d’une chute, il doit être alors adapté à votre tête, ni trop petit ni trop grand.

Il doit vous être « personnel », ne le prêtez pas et n’en empruntez pas auprès des autres !

La première condition pour conduire une moto reste tout de même celle que tout motard doit faire : passer le permis moto. Comme tout véhicule motorisé, il est impératif d’avoir cette autorisation de conduire, avec les cours et les examens afin de l’obtenir.

Pensez toujours à votre sécurité et à celle des autres !