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Comment dresser son chien à la maison ?

Comment dresser son chien à la maison ?

Dresser son chien à la maison peut rapidement devenir un véritable parcours du combattant si l’on ne sait pas s’y prendre correctement. C’est pourquoi il est important d’être totalement prêt avant d’accueillir un animal de compagnie dans la famille. Dans cet article, nous vous donnons quelques conseils pour que vous puissiez adopter les meilleures techniques dans le dressage de votre chien.

Dresser son chien à la maison : les bonnes raisons

Le dressage d’un chien consiste surtout à lui apprendre les bonnes manières et l’hygiène. Certains préfèrent le terme « éducation » pour désigner cette tâche des plus importantes. Sachez qu’il y a des experts en dressage de chiens. Ces derniers peuvent vous aider et sont de bons conseils si vous souhaitez prendre en main l’éducation de votre animal de compagnie.

Alors, pourquoi dresser son chien à la maison ? La principale bonne raison reste l’obtention de l’obéissance de l’animal. Sachez qu’une fois que votre chien vous obéit au doigt et à l’œil, vous serez certain d’avoir un compagnon de vie et un ami fidèle. Avec l’obéissance vient la sécurité. Votre chien vous sera reconnaissant pour tout ce que vous lui apportez. Il fera donc de son mieux pour vous protéger et pour vous satisfaire.

Par ailleurs, pour une cohabitation paisible avec votre animal de compagnie à quatre pattes, l’hygiène représente un point essentiel qu’il faut qu’il maîtrise. Le dresser permettra à votre chien de comprendre qu’il ne faut pas faire ses besoins partout dans la maison, par exemple. Tout ce travail lié au dressage doit se faire de préférence lorsque le chien est encore jeune (à compter de 2 mois). Cela facilitera son éducation.

Les techniques à mettre en place pour bien dresser son chien à la maison

Tout d’abord, il faut que vous lui fassiez de l’espace dans votre maison en préparant son arrivée. Pour cela, vous devez avoir à disposition tous les matériels utiles aux besoins de votre chien, à savoir :

  • Une caisse confortable pour ses nuits et ses périodes de repos
  • Un collier
  • Une laisse pour les promenades
  • Une litière pour chien dans le cas où votre maison est dépourvue de jardin
  • Un bol pour ses repas et pour son hydratation
  • Des jouets pour le distraire et le mettre à l’aise

Ensuite viennent les diverses méthodes à mettre en œuvre pour aider votre chien dans sa période de dressage :

  • L’utilisation de signaux faciles à assimiler : un signal par ordre !
  • Les mots simples peuvent également aider votre chien à mieux vous comprendre.
  • Employez un ton amical et rassurant.
  • Préparez un endroit spécifique pour qu’il puisse faire ses besoins.
  • Instaurez une routine à suivre dès son réveil jusqu’à l’heure de faire dodo pour qu’il prenne ses repères.

Punir son chien ou non ?

Le secret pour un dressage réussi, c’est de bannir toute forme de douleur à infliger au chien. Évitez pour cela les colliers étrangleurs, par exemple. A contrario, nous encourageons fortement l’octroi de récompenses en tout genre pour féliciter le chien à chaque bonne action qu’il fait : friandise, câlin, mot doux, etc. Mais le plus important pour votre chien reste le fait que vous lui accordiez de votre temps pour qu’il ne se sente pas délaissé. Avec ces quelques astuces, dresser son chien à la maison devient une partie de plaisir pour les deux parties.

Quelle est l’alimentation du furet ?

Le furet fait partie des animaux de compagnie préférés des Français. Toutefois, il faut savoir qu’on ne nourrit pas un furet comme on nourrirait un chien ou un chat. En effet, cet animal a des besoins particuliers, et doit absolument avoir un régime équilibré. Dans cet article, on vous propose donc de découvrir l’alimentation du furet.

Quel est le régime adapté pour l’alimentation du furet ?

Le furet n’est pas un gros mangeur. Il préfère plutôt grignoter, et ce qu’il mange est généralement brûlé rapidement. De ce fait, il a besoin de prendre plusieurs mini repas au quotidien (environ 7 à 10 mini repas par jour).

En général, le furet est en mesure de se rationner seul. Vous pouvez donc lui laisser une gamelle remplie de croquettes, il n’en mangera pas plus que de raison. Si jamais votre petit animal ne parvient pas à se retenir et se met à grossir, alors il sera préférable de lui donner ses repas vous-même, de façon plus ponctuelle. Cela permettra d’éviter les excès.

L’alimentation du furet a besoin d’être variée et équilibrée. Il est cependant important de signaler que l’équilibre alimentaire dont il est question ici est propre à l’espèce, et n’est pas similaire à celle chez l’homme.

Le furet a donc besoin :

  • de 35 à 45% de protéines animales : ces protéines apportent les acides aminés nécessaires aux processus vitaux du furet
  • de 20% de glucides pour lui donner de l’énergie
  • entre 10 et 25 % de lipides : ces dernières aident l’animal à se rassasier et à ne pas manger excessivement
  • peu de fibres.

Dans le commerce, il existe des croquettes spécifiquement formulées pour répondre aux besoins des furets. Faîtes cependant attention à choisir des croquettes de qualité, afin de ne pas troubler son équilibre nutritionnel.

Les aliments que les furets apprécient

Comme il a été dit précédemment, l’alimentation du furet doit être variée. Même s’il y a des croquettes spéciales furets, il est vivement recommandé de leur donner des aliments bruts et plus naturels. Il faut juste prendre soin de bien équilibrer ses préparations, afin de répondre aux besoins spécifiques de l’animal.

La viande comme alimentation du furet

Le furet est un animal carnivore. Il est donc tout à fait normal que la viande soit son aliment principal. Vous pouvez acheter des petites gourmandises surgelées (comme des petits rongeurs ou des grenouilles) dans des animaleries et des magasins spécialisés. Vous avez aussi comme option d’acheter de la viande fraîche chez le boucher, et de lui en offrir en très petites quantités, après l’avoir légèrement cuite.

Les fruits et légumes

Le furet ne dira pas non à des fruits et légumes. Mais comme ces aliments sont riches en fibres, ils doivent être donnés en quantités très réduites. Le cas échéant, l’animal aura du mal à les digérer, et pourrait souffrir de ballonnements, voire de diarrhées ou de constipation. Les haricots cuits, le concombre et le raisin devraient convenir, tant qu’ils sont donnés à très petites doses.

5 choses à savoir avant d’adopter un lapin

5 choses à savoir avant d’adopter un lapin

Peu bruyant et prenant peu d’espace, le lapin est un animal très affectueux qui peut apporter de la joie au quotidien. Malheureusement, il ne convient pas à tout le monde, car il a un tout autre caractère et nécessite beaucoup de soins. Avant de vous embarquer dans l’adoption de cette espèce, voici 5 choses à savoir sur les lapins :

1. Leur personnalité

Le lapin n’a pas les mêmes caractères que les autres animaux de compagnie tels que les chiens et chats. Voici ce qu’il faut savoir concernant leur personnalité :

Des caractères différents : certains sont espiègles tandis que d’autres sont calmes. En tant que propriétaire potentiel, vous devez songer à passer un peu de temps avec les lapins afin de savoir lequel vous correspond le mieux. Si vous songez à adopter plusieurs lapins, sachez qu’ils n’affectionnent pas forcément la vie en groupe.

Pas toutes câlines : bien qu’on ait tout le temps envie de câliner nos animaux de compagnie, il faut savoir que les lapins n’aiment pas tous les câlins. Ils aiment les caresses certes, mais peuvent être agressifs en cas de fausse manipulation.

2. Leur alimentation

Le lapin a besoin d’une alimentation équilibrée pour rester en bonne santé. C’est un herbivore et il se nourrit notamment de :

  • Légumes : chou vert, feuilles de betterave, de pissenlit, de navet, laitue, basilic, herbe de blé, courge. À noter que les carottes doivent être consommées avec modération, car elles contiennent beaucoup de sucres.
  • Fruits à petites quantités : pomme, poire, prune, de pêche ou de baies riches en fibres
  • Eaux fraîches : inséparables à tous les êtres vivants, les lapins ont besoin d’eau au quotidien pour s’hydrater et pour faciliter leur digestion.
  • Granulés : à éviter de mélanger avec des graines, des céréales, du maïs ou des noix, car ils peuvent provoquer des problèmes gastro-intestinaux et une prise de poids.

3. Leur hygiène

Bien que les lapins fassent leur propre toilette au quotidien, ils ont parfois besoin d’un peu d’aide. Un brossage régulier est recommandé afin de garder leur pelage propre, mais ils ont également besoin de se faire couper les ongles. Les ongles de lapins poussent très vite et deviennent inconfortables s’ils sont très longs.

4. Les habitudes du lapin

Les lapins ne sont pas des animaux très capricieux puisqu’ils n’ont pas besoin de se faire promener. Par contre, ils ont besoin de sortir de leur cage quotidiennement pour se dégourdir les pattes, surtout qu’ils sont très actifs à l’aube et au crépuscule. Faire quelques exercices est nécessaire pour leur bien-être. Pensez donc à les faire sortir de leur cage.

 Les lapins ont également pour habitude de creuser et de mâchouiller. Mastiquer un objet leur permet de renforcer les dents, mais ils le font également par ennui. Afin d’éviter d’abimer vos meubles, l’idéal serait de placer un objet à mâcher dans sa cage, tel qu’un jouet.

5. L’habitat idéal pour un lapin

Malgré leurs petites tailles, les lapins ont besoin d’un espace assez grand pour ses activités. Une cage adaptée à sa taille, où on y trouve sa litière, sa gamelle, et ses jouets. D’autant plus qu’ils sont très vulnérables au froid et à la chaleur, alors le choix du placement est très important. Il faut également songer à ouvrir sa cage de temps pour qu’ils puissent se promener librement, surtout dans un lieu loin des prédateurs.

Couveuse

Comment bien régler sa couveuse ?

Lors de l’élevage des poussins, un incubateur d’œufs ou une couveuse artificielle est souvent utilisé. Les couveuses d’œufs offrent au producteur une plus grande autonomie et un contrôle plus minutieux de la progression de l’éclosion. Découvrez les paramètres à prendre en compte pour bien régler la couveuse d’œufs dans cet article.

Contrôle du taux d’humidité dans la couveuse

Savoir comment bien régler sa couveuse automatique est important pour avoir le maximum de rendement. L’humidité garantit une meilleure éclosion des œufs dans une couveuse automatique. Il doit être scrupuleusement suivi tout au long de la période d’élevage. Cette opération n’est pas obligatoire dans les pépinières professionnelles.

Importance du taux d’humidité

Pendant 21 jours de croissance, l’embryon doit éliminer l’humidité de l’intérieur de l’œuf. Le taux d’humidité doit donc être plus faible pendant les 18 premiers jours.

Si la couveuse ne permet pas la mesure automatique de l’humidité, nous vous recommandons d’ajouter un hygromètre numérique pour mesurer de manière fiable le taux d’humidité. Dans ce contexte, il faut savoir que les couveuses automatiques sont presque toutes pré-configurées.

Après 21 jours, vos poussins devraient pointer du bout du bec ! Laissez-les dans la couveuse pendant un autre jour pour les laisser sécher et reprendre des forces. Vous devrez ensuite leur préparer un nid douillet pour compléter leur croissance.

Régulation du taux d’humidité

Afin de modifier le taux d’humidité dans la couveuse, vous pouvez agir sur deux paramètres. Pour abaisser le niveau d’humidité, on peut mettre plus d’air dans la couveuse. Pour augmenter l’humidité, surtout à l’approche du couvain, réduisez l’apport d’air.

Vous vous demandez probablement si l’air a un effet sur la quantité d’eau que vous injectez dans la couveuse. La réponse est oui, car vous savez probablement que l’air peut assécher l’eau. Par conséquent, au fur et à mesure que l’air circule, l’eau est susceptible de diminuer, ce qui à son tour abaisse le niveau d’humidité.

Température de la couveuse

Il faut également faire attention à la température de la couveuse. En effet, pour placer les œufs dans les meilleures conditions, il est préférable de faire fonctionner la couveuse 12 heures avant de commencer l’incubation. Ainsi, lorsque vous voudrez y mettre les œufs, ils atteindront la bonne température d’incubation.

C’est cette température, autour de 37,5 °C pour les œufs de poule, qui va permettre à l’embryon de se développer.

Pour comprendre plus en détail, le jaune d’œuf est la nourriture de l’embryon, c’est-à-dire l’apport de la protéine nécessaire à son développement. Quant au blanc, c’est sa source d’eau. C’est grâce à la température dans la couveuse que l’embryon stocke ses réserves.

La température déclenche la prolifération cellulaire et détermine le temps d’incubation. Il doit être adapté au type d’œufs dans la couveuse. En dessous de la température recommandée, l’embryon ne se développera pas, au-dessus duquel il mourra.

Retournement des œufs dans la couveuse

Les œufs doivent être retournés d’un demi-tour au moins deux fois par jour entre le 3ᵉ et le 19ᵉ jours inclus. Cette manipulation est nécessaire au bon développement de l’embryon et empêche l’embryon de coller à la coquille. Il conseille de faire une marque au crayon sur un côté des œufs afin qu’il y ait un point de référence pour le retournement.

Les couveuses rotatives semi-automatiques nécessitent l’intervention de l’éleveur, mais ont un mécanisme qui permet à tous les œufs d’être tournés simultanément.

Les incubateurs rotatifs automatiques sont équipés de moteurs pour faire tourner les œufs. Avec ces modèles, vous pouvez partir quelques jours en toute sécurité.

Que faire si mon chien se fait piquer par une abeille

Que faire si mon chien se fait piquer par une abeille ?

Nous savons tous à quel point notre chien adore gambader dans le jardin ou se promener à l’extérieur. Mais gare aux piqûres d’abeilles ! Eh oui, elles peuvent avoir des conséquences nocives pour notre animal de compagnie. Dans cet article, nous allons vous montrer comment réagir si votre chien se fait piquer par une abeille.

Les effets de la piqûre d’abeille sur le chien

Lorsqu’une abeille pique notre chien en laissant son dard ancré dans sa peau, deux sortes de réactions peuvent être constatées : une réaction normale à la piqûre et une réaction allergique. Cette dernière peut être particulièrement dangereuse pour notre animal.

La réaction normale

La réaction normale se manifeste par une inflammation de la peau. La partie piquée se met alors à gonfler. D’habitude, c’est la bouche qui reçoit le coup de dard, étant donné que notre animal essaiera de manger l’abeille. Par ailleurs, la température du chien augmente instantanément.

La réaction allergique

Lorsqu’un chien est allergique à la piqûre d’une abeille, il montre divers symptômes. Bien sûr, notre toutou éprouve tout de même les manifestations lors d’une réaction normale, mais en plus, nous pouvons constater :

  • Une inflammation disproportionnée
  • Une grosse fièvre
  • Un problème respiratoire
  • Une léthargie

À noter que les difficultés respiratoires peuvent entraîner un manque d’oxygène et un étouffement. Il est alors crucial de l’emmener voir un vétérinaire.

Les bons gestes à adopter lorsque son chien s’est fait piquer par une abeille ?

Si vous remarquez que votre chien a subi une piqûre d’abeille, vous devez agir vite. Plus vous tardez à vous occuper de lui, plus l’inflammation de la peau piquée sera importante. D’ailleurs, découvrez des conseils et astuces pour soigner votre chien.

Enlever le dard

Le premier réflexe consiste à retirer le dard dans les plus brefs délais. Et le plus tôt serait le mieux. De cette manière, la peau touchée pourra récupérer plus vite. Néanmoins, agissez très soigneusement. En effet, c’est dans le dard que le poison se trouve. Ainsi, si vous vous précipitez sans faire attention, le poison risque de se libérer encore plus rapidement.

Pour ce faire, prenez une carte rigide ou un morceau de carton. Évitez les pinces pour retirer le dard. Vous pouvez écarter les poils de votre chien pour repérer la zone piquée. Enlevez tout doucement le dard avec la carte ou le carton jusqu’à ce qu’il sorte complètement de la peau.

Nettoyer la zone

Une fois le dard retiré, vous pouvez procéder au nettoyage de la zone affectée. Lavez la peau avec du savon pour chien et de l’eau tiède. Pour apaiser la peau irritée suite à la piqûre d’abeille, évitez les frictions et agissez en douceur.

Puis, pour freiner l’inflammation, prenez des glaçons et mettez-les dans un chiffon bien propre. Appliquez le tout sur la peau affectée durant une quinzaine de minutes pour atténuer l’inflammation et la douleur.

Puis, prenez une cuillérée à café de bicarbonate de soude que vous allez mélanger avec de l’eau et étaler sur la zone touchée. Cette recette de grand-mère est très efficace pour soigner, du moins, partiellement l’inflammation de la peau piquée. Vous pouvez également mettre du jus d’aloe vera sur la zone.

Protéger les abeilles

7 gestes simples pour protéger les abeilles

Les abeilles jouent un rôle important dans la reproduction des plantes à fleurs. Mais, chaque année, de milliers de ruches disparaissent en France à cause d’une agriculture chimique. Cette disparition ne sera pas favorable pour les plantes agricoles. En adoptant les bons gestes simples, et en ayant conscience des menaces engendrées par la diminution du nombre de ruches, il sera plus facile de lutter contre la disparition de ces insectes butineuse. Voici donc 7 gestes simples qui pourraient vous aider à protéger les abeilles.

1. Assurez la pousse des plantes méllifères

Installer du colza sur son balcon serait une merveilleuse idée pour diminuer la disparition des abeilles. L’essentiel c’est de faire pousser des plantes mellifères celles qui portent le miel, ou qui sont pollinisées par les abeilles. Ces plantes ont un grand rôle à jouer dans le processus de pollinisation, et sont réparties en deux catégories : il y a les fleurs nectarifères dont le nectar est butiné par les pollinisateurs et les plantes pollinifères. Les abeilles transportent le pollen et le mettent sur ces dernières. Ainsi, n’hésitez pas à cultiver des bleuets, de la lavande, des marguerites ou encore du thym, cela ne vous empêche pas d’instaurer d’autres plantes dans votre jardin. Voir plus d’informations sur le site https://www.apiculture.net/

2. Choisissez le miel bio et local

Pour préserver les abeilles, il est important que chacun soutienne les apiculteurs. Pour ce faire, consommez le miel bio de votre région. De cette manière, vous encouragerez les apiculteurs à poursuivre leur mission et à donner un environnement sain aux pollinisateurs. Le miel a tant de bienfaits pour la santé. Il sert d’antiseptique, cela signifie qu’il empêche la prolifération des mauvaises bactéries, des champignons et des micro-organismes qui sont dans votre corps. Il comporte aussi des antioxydants qui optimisent la lutte contre les radicaux libres.

3. Laissez pousser la nature

À partir d’aujourd’hui, évitez de couper l’herbe dans votre jardin et permettez à la nature de s’épanouir. Ainsi, laissez les fleurs se développer et colorier le sol. Les abeilles adorent les pissenlits qui poussent naturellement dans les jardins.

4. Évitez d’utiliser des pesticides pour protéger les abeilles

Pour pouvoir protéger les abeilles, il faut cultiver un jardin totalement bio. N’utilisez plus de pesticides à la maison. Ces substances ne sont pas favorables pour les abeilles, car elles en souffrent. De plus, depuis le 1er janvier 2019, l’emploi du glyphosate a été défendu.

En outre, vous avez à votre disposition de nombreuses alternatives naturelles qui vous aident à cultiver bio. En effet, vous avez l’option d’enlever les mauvaises herbes à la main, faire un lâche de coccinelles pour ne pas utiliser des verres dans les potagers, ou vous fier aux produits bio qui n’ont aucun impact ni sur les animaux ni sur les végétaux.

5. Installez une ruche ou parrainez des abeilles

Il sera une bonne idée de devenir apiculteur. Cela vous permettra de fabriquer votre propre miel, de partager ce nectar naturel à votre entourage et faire augmenter votre revenu. Afin que tout se passe à merveille, suivez d’abord une formation en apiculture. Si cela ne vous tente pas, vous n’avez qu’à parrainer des abeilles.

6. Abritez les abeilles

Faites installer un petit point d’eau pour ces insectes. Attention à ce qu’il ne soit pas trop profond, il suffit d’un petit abreuvoir. Tout près de votre point d’eau, instaurez un abris pour les aider à vivre chaque saison. Vous pouvez également créer un nichoir pour les abeilles.

7. Débarrassez-vous des frelons asiatiques

Les frelons asiatiques représentent une menace pour les abeilles. Il suffit de dix individus pour ravager une ruche entière. Donc, lorsque vous apercevez une ruche de frelons asiatiques, avertissez votre mairie afin de protéger les abeilles.

Plantes mellifères

Comment choisir les plantes mellifères quand on débute dans l’apiculture?

Une branche qui fait des adeptes dernièrement, l’apiculture requiert de multiples conditions dont, parmi les plus importantes, des plantes mellifères. En effet, pour la production de miel, les abeilles ont besoin de ces plantes comme ressources et les avoir dans le jardin dans lequel seront disposées les ruches permet de faciliter la production et de les « fidéliser » sur le lieu.

Les plantes mellifères et leurs produits

Autrement appelées nectarifères ou pollinifères, ces plantes permettent d’approvisionner les abeilles en produits à intérêt apicole.

Il s’agit du nectar extrait des fleurs dont les compositions sont l’eau et les sucres, en l’occurrence le fructose et le glucose. C’est avec ce produit que la consistance du miel sera définie, le fructose donne plus de fluidité au miel tandis que le glucose cristallise cet aliment.

Le pollen se trouve dans les étamines des fleurs. Ces petites poussières sont recueillies par les abeilles et offrent les protéines nécessaires à la colonie. Il servira à nourrir les larves mais également comme stimulant des pontes de la reine.

Le miellat est le produit extrait des excrétions sucrées des parasites. Elles sont récoltées et transformées en miel. Elles sont surtout présentes sur les arbres et les arbustes.

La propolis vient de la résine que les abeilles ramassent sur les conifères et les bourgeons des arbres. Elle aide à rendre plus lisses les alvéoles, mais elle renferme aussi des vertus fongicides et bactéricides pour la colonie.

Les meilleures plantes pour produire vos miels

Sachez que le butinage des abeilles atteint les 3 kilomètres aux alentours des ruches. Si certains apiculteurs se contentent des champs à proximité de leur élevage, d’autres préfèrent assurer eux-mêmes la plantation de ces végétaux qui permettent aux abeilles de s’approvisionner en produits nécessaires à leur vie et à la production de miel.

Planter des plantes mellifères à proximité des ruches est le moyen idéal pour « nourrir » vos abeilles, car pendant certaines saisons, quand il pleut ou quand il fait froid, le déplacement de la colonie est réduit.

Tandis que certaines espèces de plantes ne fournissent que l’un de ces produits, d’autres sont plutôt « polyvalentes » pour fournir en même temps du nectar, du pollen et du miellat. C’est le cas de l’érable champêtre, du châtaignier, du pommier, du merisier, du poirier et du tilleul.

Le lierre grimpant est assez riche en nectar, en propolis et en pollen. Le peuplier tremble fournira, quant à lui, du miellat, du pollen et de la propolis.

Mais vous devez surtout choisir le robinier faux acacia, une plante par excellence pour l’apicole. Doté d’une floraison abondante, il est idéal pour approvisionner les abeilles en pollen et en nectar.

Cette plante n’est pas vraiment exigeante pour se pousser sur tous types de sol, riche ou pauvre, et sa prolifération est reconnue. Elle permet d’obtenir du miel fluide, de couleur ambre et avec une forte senteur florale.

Une condition « sine qua non »

On ne saurait trop insister sur l’importance de la flore mellifère. Elle est incontournable pour la production apicole. Elle sert au butinage des abeilles. Non seulement, elle sert à l’apiculture dans son intérêt productif de miel, mais elle est aussi essentielle à la pollinisation.

Pour une parfaite équilibre de la biodiversité, ces plantes assurent le cycle des végétaux. Mettre des ruches à proximité des vergers optimisera une bonne récolte de fruits, l’interdépendance est alors prouvée.

Comment habituer son chien à aller au panier ?

Pour un chien, et surtout pour son éducation, le panier est un des objets les plus importants. Le chien doit reconnaître que c’est sa place réservée dans la maison. C’est l’endroit où il peut faire tout ce qu’il veut sans gêner personne. C’est là où il se calme, ou il se repose et oui il dort. Apprendre à votre chien à aller au panier est la meilleure façon de commencer à structurer son obéissance.

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Comment élever des escargots ?

L’héliciculture ou l’élevage d’escargot est pratiqué par beaucoup de Français pour le plaisir et pour la consommation. Avant de commencer votre activité, il est préférable de savoir davantage sur la vie de ces petits gastéropodes. Ils comptent plusieurs espèces. Mais le plus commun et le plus adapté pour un élevage domestique est « l’helix asperse », appelé également « Petit-gris ». Allons à la rencontre de l’univers des escargots.

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